Red dead redemption

À l'aube du XXe siècle, alors que les territoires chaotiques des badlands cèdent peu à peu du terrain au gouvernement et à l'extension de l'ère industrielle, John Marston, un ancien hors-la-loi, est retrouvé par les forces de l'ordre.
Son passé sera oublié s'il aide à faire régner la loi.

Et voilà le point de départ de Red Dead Redemption, qui, malgré les toutes premières annonces et le titre, n'a rien d'une suite au très bon Red Dead Revolver, mais plutôt une variation sur le même thème.
Avec le moteur graphique de GTA IV et le même genre d'environnement ouvert, RockStar compte bien nous immerger, plus encore que dans un western spaghetti (Red Dead Revolver), dans la vie de ces cowboys de l'Ouest américain, qui ont fait les beaux jours du cinéma.

Au menu, de l'action, des séquences dignes de Sergio Leone et John Ford, et la possibilité de choisir son camp.
En effet, si le personnage est réquisitionné par la loi et le gouvernement, vous pouvez arriver à vos objectifs soit en étant un cowboy vertueux, soit en devenant le desperado le plus recherché de l'Ouest.

Evidemment, selon vos actes, il est toujours possible de basculer de l'un à l'autre quasiment à tout moment.

Les virées dans les plaines seront rythmées par la vie des animaux et des humains vivant dans le secteur, pas de vide ici.
Meutes d'animaux, mineurs revenant du travail, attaques de diligences...Tout ce qui fait le charme du Far West y passe.

Et n'oublions pas le multijoueurs, jusqu'à 16 par partie, belle valeur ajoutée.